Cally Sweet

Hum. Carly a un caractère très complexe, donc résumons ici le principal, en trois parties : qualités, défauts, et neutre, ou entre les deux.
QUALITÉS : c'est une fille au grand cœur. Elle rigole beaucoup. Carly est quelqu'un de très attentionnée, qui montre de l'intérêt pour les personnes en difficulté. Elle donne beaucoup d'argent aux associations, et c'est une personne assez connue dans son quartier, raison étant qu'elle fait beaucoup de bonnes actions.
DEFAUTS : alors la ... En premier lieu, elle est très très très timide, et va rarement d'elle même vers les autres. C'est un gros probleme car ça l'empêche de faire des demandes d'emplois. Pourtant, c'est une fille très intelligente. Aussi, Carly a la grosse tête des qu'elle fait une action caritative. Et c'est une grande dépensière, ce qui entraîne de nombreux découverts pour son compte en banque.
NEUTRE : elle est très sensible, ce qui peut être un avantage mais aussi un inconvénient. Elle s'énerve facilement, ce qui a évité des problèmes dans certains cas, et en a créé, aussi, malheureusement.
En gros, voilà Carly.

Carly a un physique plutôt banal : cheveux bruns foncés qui ondulent et lui arrivent en dessous des épaules, une frange qui lui balaie le front, et qui lui arrive dans ses yeux, qui sont bleus clairs, et cela donne l'impression d'un regard bienveillant.
Elle a la peau clair, les joues roses et les lèvres rose rouge. Elle est de taille moyenne, mais un peu plus grande que la normale. Elle a la taille fine.
Elle s'habille un peu normalement, un peu bizarrement. Elle adore les chapeaux, elle en a plein, et aime aussi les bonnets. Bref elle adore les trucs qui vont sur la tête.
Malgré ce physique, qui est joli, avouons le, elle n'a jamais eu de petit copain, à son grand désespoir, car elle flash souvent sur des garçons qui se révèlent été en couple ou gays. C'est dur la vie T.T

... Il pleut. Le bruit des gouttes résonnent dans le silence de la nuit. La lune est masquée par de lourds nuages gris. Un réverbère éclaire faiblement la chaussée d'une lumière orangeâtre. Aux alentours, personne. C'est la campagne. Des champs, des champs, un bosquet de quelques arbres. Des champs. Une route droite, déserte. Aucunes voitures à l'horizon. Seule une silhouette s'avance dans la clarté nocturne. En passant sous le réverbère, on peut détailler rapidement cet étrange personnage : Un anorak blanc. La capuche est remonté sur la tête. Celle-ci est baissée, regarde le sol. On ne voit pas ses yeux. De lourdes mèches brunes s'échappent par-ce par-là. Des bottes jaunes martèlent le bitume d'un tempo rapide. Des chaussettes dépassent ; elles sont remontées jusqu'aux genoux. Blanches avec une bande rose. Un short en jean est à peine visible sous le coupe-vent ; celui-ci est trop grand. Au loin, des cris d'hommes se font entendre. La personne presse le pas. Se met à courir. Cally s'enfuit, loin. Très loin.
Un soupir las se fait entendre dans la chambre d'hôtel. Cally apparaît dans l'entrebâillement d'une porte, son anorak sous le bras. Elle est trempée. Essoufflée. Elle a beaucoup couru. Longtemps. Très longtemps. Elle avance de quelques pas, jette son manteau sur un fauteuil, enlève ses bottes. Saute sur le lit en soupirant de nouveau. Elle a eu de la chance de trouver cet hôtel. Les autres l'auraient tuée, sinon. Ils avaient déjà tué tant de gens. Tous le monde en fait. Près de 200 personnes. À eux 5. Et apparemment, ils ne voulaient pas qu'il y ai de survivants. Ils auraient pu réussir. Si cet hôtel ne s'était pas trouvé sur le chemin de Cally, elle serait morte à cette heure-ci. Elle pense qu'ils ne voulaient pas que quelqu'un raconte tout. De toute façon, elle n'allait rien raconter. Elle tient trop à la vie.
Cally ferme les yeux. Des brides de souvenirs lui reviennent.
Elle a rendez-vous avec une amie devant un Night Club très réputé. Elles font la queue, tout va bien. Le videur les fait entrer. À l'intérieur, la fête bat son plein ; la musique est à fond. Tous le monde danse. Sur un panneau au dessus de la porte, on peut lire le nombre de gens dans la boîte de nuit : 200. C'est le maximum, apparemment. Car le videur ne fait plus entrer personne. Mais la porte reste ouverte, pour que sortent les gens plus facilement. Cally et son amie dansent. Dansent jusqu'à 1 heure du matin. À 1 heure 17, le videur a l'air de refuser l'entrer à un groupe de 5 personnes. Le ton monte. Soudain, le videur ne bouge plus. Il tombe à terre. S'étouffe dans son sang. Un des 5 retire une lame de sa gorge. Puis ils entrent. Personne n'a rien vu. Sauf Cally. Elle est là. Stupéfaite. Choquée. la magie bouillonne dans son corps. Non, il ne faut pas. Non, ne pas tuer. C'est mal. Les hommes la dépassent. Puis c'est le carnage. Cally se met à courir. Un homme barre le passage. La magie entre en jeu. Un échange. L'homme s'écroule. Cally a enlevé tout l'air de ses poumons. Elle enjambe le cadavre. Elle pleure. Elle s'enfuit.
Soudain, elle ouvrit les yeux. Ce n'est qu'un cauchemar. Cally se redresse. Elle ne reconnait pas l'endroit. Puis tout lui revient. Ce n'était pas un cauchemar. Elle pleure.